Concours : Thème libre gravitant autour d’homophones
Du 3 mai au 30 mai
Résultats 2 juin
Thème : sujet libre
Consignes : (d’après une suggestion de Venezio)
Vous devez écrire un poème contenant des homophones à la fin de chaque vers.
Rappel : des homophones sont des mots qui se prononcent de la même manière mais dont le sens et l’orthographe sont différents
Exemple :
Un chien hurlait à la lune pleine
Argentant les collines, les vastes plaines
Exhortait-il ses rémanences de loup
A s’unir à mère nature, qu’il loue
4 quatrains
Métrique libre
Rimes obligatoires
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes
Vous pouvez également participer en hors concours.
Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
1 Je boxe avec ma box.
J’ai de la chance, des jeux de mots,
Pour enlever tous mes maux,
En usant quelques moyens « démo »,
Trouvant exquis tous les eskimos.
Aujourd’hui, je m’écrie, j’ai la faim,
Pour faire un écrit jusqu’à la fin,
C’est en délicatesse, ma croix au plus fin,
Sais-tu encore ce que je crois, enfin !
Vous l’avez compris, ça, c’est un signe,
Pour laver le con prit, blanc comme un cygne,
Arrêté, il était comme le chat teigne,
Qui aurait avalé un kilo de châtaigne.
Il était las, en garde à vue, là !
J’essuie la suie, chantonnant la la la,
De bons alibis, il n’en avait guère,
Entre police et voleur, c’était la guerre.
2 En vie du temps de tant d’envie.
Conter avec les mots, je suis affable,
J’ai compté avec des termes à fable,
Pour essayer des cons, vaincre,
Enfin écrire pour les convaincre.
J’vais vous saouler de mes écrits,
Pour que chacun ici s’écrie,
Ho ! Mots ! Phone ! C’est la fête,
Quand de l’arbre, j’étais au faîte.
De vouloir le tailler en main, tenant,
J’me suis bien blessé maintenant,
J’étais tombé dans une embûche,
Voulant du bois, le tailler en bûches.
Mon pied bot, il le voila,
Il n’était pas beau, voilà !
J’ai donc laissé tomber la faux,
Pour embellir mon texte, il faut.
3 Histoire d’animal qui anime mal.
Tintin du cadre du miroir, le tint,
Pour mettre la couleur, l’a teint,
Dans un pastel, aux nuances de thym,
Cette belle glace était sans tain.
Posé juste devant le chalet,
Vint à passer ce chat laid,
Trouvant son image de laid chat,
Pensant à un compère le lécha,
Je rigolais en amplifiant ma toux,
De regarder ce drôle de matou,
Mâle ou femelle, c’était le mystère,
Se prenait-il pour Miss terre.
Ces blagues, je voulais les compter,
Pour rire avec vous, vous la conter,
J’en ai plein d’autres, beaucoup,
Espérant ici faire un beau coup.
4 Échos nocturnes de Freddy
Dans les ténèbres, les griffes brillent, saines,
Freddy guette, ses lames perçant la scène,
Dans les songes, il mène ses jeux,
Dans les esprits endormis, sème ses enjeux.
À la croisée des mondes, en fils tendus,
Il tisse les cauchemars, tresser de fil,
Sous la Lune, les victimes sans voix,
Leurs cris muets, écrits par ce qu'il voie.
Le sommeil, territoire où il porte en son sein,
Chaque nuit, en son pouvoir, il sain,
Esprits brisés sous sa main maître,
Dans le labyrinthe de rêves, il est le mètre.
Chaque souffle, chaque murmure conte,
Dans l'obscurité, sa légende il compte,
Sous les étoiles, le silence s'erre,
Et dans chaque rêve, Freddy erre.
**************
5 Quand les mots, apaisent les maux.
Me voilà pour la énième fois ;
En quête de propos datant de notre ère.
Dont le dictionnaire témoigne et fait foi ;
Auquel, bien souvent, en silence, j'erre.
Même si je voulais couper court ;
Je dois toujours en tenir compte.
Aux propos qui sont déjà en cours ;
Ce qui me permet de narrer un conte.
À travers de simples mots ;
Qui ne peut que faciliter l'affaire.
Ne serait-ce pour apaiser mes maux ?
Encore fallait-il trouver mieux à faire.
Pour que ce texte ne soit pas vain ;
Et qu'il me libère de cette chaîne.
Pendant que je peux encore dire : « Je vaincs ».
Que l'homophone puisse m'éloigner de ce chêne.
6 À la recherche d'homonymes.
Bien installé dans mon repaire.
À la recherche d'homonymes et de vers.
Gardant mon point point de repère,
J'attends le feu vert.
De la fin du concours de mai
Qui se déroule en ce moment sur Creapoème.
Dans d'autres thèmes et d'autres mets.
Rien de tel, pour un nouveau poème.
Et d'être toujours dans le coup.
Pour narrer un joli conte.
Et bien sûr, sans qu'il ait un coût.
Et qu'il soit pris en compte.
Avec tous ses simples mots.
Dans une histoire dense,
Restons zen, si on veut éviter les maux.
Et demeurer toujours dans la danse.
Au beau milieu du foin séchant
Sur mélodies Renaud Séchan
Joyeux oiseaux , écoutent chants
Du gai paysan , glanant dans champs
Fameux conteur , façon Homère
Rêvant mairie , fonction haut maire
Pour le plaisir que veut sa mère
Flots jolis mots , océan mer
Sa belle dame, Met fil dans chas
Pour tricoter en épiant chat
Félin malin , jouant pacha
Race persan mais n'est pas shah
Elle fait maille soit à l'envers
Soit à l'endroit , tel un lent ver
Joli tricot , coloris vert
Travail fini , buvons un verre
8 Faim d'arriver à ses fins
A l’orée des Jeux Olympiques de Paris,
Les concurrents veulent réussir leur pari,
Celui, d’une quête sur les bords de la Seine,
Qui les portera sur le devant de la scène.
Au village, le sportif rêve de hauteur,
Pour un fameux exploit, dont il serait l’auteur,
Un asile de partage, dans ce repaire,
Avec la médaille, comme simple repère
Au grand jour, le champion devra faire le saut,
Afin de marquer la victoire de son sceau,
Plusieurs mois de sacrifices donnés pour elle,
Au nom des siens, il s’est senti pousser des ailes.
Parfois, tels ces vieux chevaux usés par le mors,
Leurs excès peuvent les mener, jusqu’à la mort.
Mais aussi sûr, qu’un habit rongé par les mites,
Au fil du temps, ces héros, deviendront des mythes.
La vile vie d’Elvie Llumierelive
1er volet
Oh Maman, oh toi ! ma pas bonne mère,
Depuis que tu t’es enfuie au bord de la mer
Je suis restée seule avec mon père,
A nous deux on faisait pas la paire !
Pour te dire qu’ici c’était pas la fête :
Il picole du matin au soir en fait
Il rote, il pête, il pue,
Buvant et pissant plus qu’il ne put…
Ben oui…il a trépassé sans lumière desspots,
C’était un taré, un vrai despote !
Il a ingurgité et vomi jusqu’à la lie
Sentant la vinasse à même son lit…
Et moi…sa fille unique…cette pauvre enfant,
J’aurais aimé être transformée en faon
Pouvoir brouter le muguet, juste un brin
Même s’il n’était pas très blanc mais plus que brun !
La vile vie d’Elvie Llumierelive
2ème volet
Depuis que ma mère avec un de ses gus est partie
Il a fallu que j’en prenne mon parti,
Vrai, très souvent j’ai serré les poings
Et j’ai mis au trait final un point,
Quand le paternel s’est mis sur pause
Par soulagement j’ai pris bonne pose :
Ne jamais plus grincer des dents,
Il est sous terre et bien dedans !
Toute la gnole qu’il se versait
A coulé dans ses veines comme des versets,
Quant à la daronne avec son amant
J’espère bien que son âme ment,
Je me doute bien que de moi elle n’a que faire,
Son cœur maternel est aussi dur que le fer,
Le daron dorénavant bouffé par les vers
N’aura plus à prendre le dernier verre.
La vile vie d’Elvie Llumierelive
3ème et dernier volet
Maintenant je suis adulte je crois…
Et je continue mon chemin de croix
Avec porte jarretelles pour ajuster mes bas,
Il est vrai que je suis descendue bien bas,
Malgré ma peau ridée comme un coing
Je me prostitue dans chaque rue, dans chaque coin,
J’aime bien ingurgiter vodka, whisky et bière
Sachant qu’ils me mèneront en bière,
En fait j’ai hérité des vices de mes parents,
Pas la peine que je vous les énumère par rang
De plus dans les boutiques je commets des larcins
Mais je dors sur mes deux oreilles car j’ai le lard sain,
En ce monde plus rien de m’intéresse ni me tente,
J’ai refourgué mes mômes au mont de Piété, chez ma tante
Car avec moi on ne mets pas de mors,
Je me débat, je griffe, je cogne, je mords !
Du 3 mai au 30 mai
Résultats 2 juin
Thème : sujet libre
Consignes : (d’après une suggestion de Venezio)
Vous devez écrire un poème contenant des homophones à la fin de chaque vers.
Rappel : des homophones sont des mots qui se prononcent de la même manière mais dont le sens et l’orthographe sont différents
Exemple :
Un chien hurlait à la lune pleine
Argentant les collines, les vastes plaines
Exhortait-il ses rémanences de loup
A s’unir à mère nature, qu’il loue
4 quatrains
Métrique libre
Rimes obligatoires
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes
Vous pouvez également participer en hors concours.
Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
*****************
1 Je boxe avec ma box.
J’ai de la chance, des jeux de mots,
Pour enlever tous mes maux,
En usant quelques moyens « démo »,
Trouvant exquis tous les eskimos.
Aujourd’hui, je m’écrie, j’ai la faim,
Pour faire un écrit jusqu’à la fin,
C’est en délicatesse, ma croix au plus fin,
Sais-tu encore ce que je crois, enfin !
Vous l’avez compris, ça, c’est un signe,
Pour laver le con prit, blanc comme un cygne,
Arrêté, il était comme le chat teigne,
Qui aurait avalé un kilo de châtaigne.
Il était las, en garde à vue, là !
J’essuie la suie, chantonnant la la la,
De bons alibis, il n’en avait guère,
Entre police et voleur, c’était la guerre.
***************
2 En vie du temps de tant d’envie.
Conter avec les mots, je suis affable,
J’ai compté avec des termes à fable,
Pour essayer des cons, vaincre,
Enfin écrire pour les convaincre.
J’vais vous saouler de mes écrits,
Pour que chacun ici s’écrie,
Ho ! Mots ! Phone ! C’est la fête,
Quand de l’arbre, j’étais au faîte.
De vouloir le tailler en main, tenant,
J’me suis bien blessé maintenant,
J’étais tombé dans une embûche,
Voulant du bois, le tailler en bûches.
Mon pied bot, il le voila,
Il n’était pas beau, voilà !
J’ai donc laissé tomber la faux,
Pour embellir mon texte, il faut.
**************
3 Histoire d’animal qui anime mal.
Tintin du cadre du miroir, le tint,
Pour mettre la couleur, l’a teint,
Dans un pastel, aux nuances de thym,
Cette belle glace était sans tain.
Posé juste devant le chalet,
Vint à passer ce chat laid,
Trouvant son image de laid chat,
Pensant à un compère le lécha,
Je rigolais en amplifiant ma toux,
De regarder ce drôle de matou,
Mâle ou femelle, c’était le mystère,
Se prenait-il pour Miss terre.
Ces blagues, je voulais les compter,
Pour rire avec vous, vous la conter,
J’en ai plein d’autres, beaucoup,
Espérant ici faire un beau coup.
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4 Échos nocturnes de Freddy
Dans les ténèbres, les griffes brillent, saines,
Freddy guette, ses lames perçant la scène,
Dans les songes, il mène ses jeux,
Dans les esprits endormis, sème ses enjeux.
À la croisée des mondes, en fils tendus,
Il tisse les cauchemars, tresser de fil,
Sous la Lune, les victimes sans voix,
Leurs cris muets, écrits par ce qu'il voie.
Le sommeil, territoire où il porte en son sein,
Chaque nuit, en son pouvoir, il sain,
Esprits brisés sous sa main maître,
Dans le labyrinthe de rêves, il est le mètre.
Chaque souffle, chaque murmure conte,
Dans l'obscurité, sa légende il compte,
Sous les étoiles, le silence s'erre,
Et dans chaque rêve, Freddy erre.
**************
5 Quand les mots, apaisent les maux.
Me voilà pour la énième fois ;
En quête de propos datant de notre ère.
Dont le dictionnaire témoigne et fait foi ;
Auquel, bien souvent, en silence, j'erre.
Même si je voulais couper court ;
Je dois toujours en tenir compte.
Aux propos qui sont déjà en cours ;
Ce qui me permet de narrer un conte.
À travers de simples mots ;
Qui ne peut que faciliter l'affaire.
Ne serait-ce pour apaiser mes maux ?
Encore fallait-il trouver mieux à faire.
Pour que ce texte ne soit pas vain ;
Et qu'il me libère de cette chaîne.
Pendant que je peux encore dire : « Je vaincs ».
Que l'homophone puisse m'éloigner de ce chêne.
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6 À la recherche d'homonymes.
Bien installé dans mon repaire.
À la recherche d'homonymes et de vers.
Gardant mon point point de repère,
J'attends le feu vert.
De la fin du concours de mai
Qui se déroule en ce moment sur Creapoème.
Dans d'autres thèmes et d'autres mets.
Rien de tel, pour un nouveau poème.
Et d'être toujours dans le coup.
Pour narrer un joli conte.
Et bien sûr, sans qu'il ait un coût.
Et qu'il soit pris en compte.
Avec tous ses simples mots.
Dans une histoire dense,
Restons zen, si on veut éviter les maux.
Et demeurer toujours dans la danse.
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7 Mélos dit en mélodies de MélodieAu beau milieu du foin séchant
Sur mélodies Renaud Séchan
Joyeux oiseaux , écoutent chants
Du gai paysan , glanant dans champs
Fameux conteur , façon Homère
Rêvant mairie , fonction haut maire
Pour le plaisir que veut sa mère
Flots jolis mots , océan mer
Sa belle dame, Met fil dans chas
Pour tricoter en épiant chat
Félin malin , jouant pacha
Race persan mais n'est pas shah
Elle fait maille soit à l'envers
Soit à l'endroit , tel un lent ver
Joli tricot , coloris vert
Travail fini , buvons un verre
************
8 Faim d'arriver à ses fins
A l’orée des Jeux Olympiques de Paris,
Les concurrents veulent réussir leur pari,
Celui, d’une quête sur les bords de la Seine,
Qui les portera sur le devant de la scène.
Au village, le sportif rêve de hauteur,
Pour un fameux exploit, dont il serait l’auteur,
Un asile de partage, dans ce repaire,
Avec la médaille, comme simple repère
Au grand jour, le champion devra faire le saut,
Afin de marquer la victoire de son sceau,
Plusieurs mois de sacrifices donnés pour elle,
Au nom des siens, il s’est senti pousser des ailes.
Parfois, tels ces vieux chevaux usés par le mors,
Leurs excès peuvent les mener, jusqu’à la mort.
Mais aussi sûr, qu’un habit rongé par les mites,
Au fil du temps, ces héros, deviendront des mythes.
HORS CONCOURS
La vile vie d’Elvie Llumierelive
1er volet
Oh Maman, oh toi ! ma pas bonne mère,
Depuis que tu t’es enfuie au bord de la mer
Je suis restée seule avec mon père,
A nous deux on faisait pas la paire !
Pour te dire qu’ici c’était pas la fête :
Il picole du matin au soir en fait
Il rote, il pête, il pue,
Buvant et pissant plus qu’il ne put…
Ben oui…il a trépassé sans lumière desspots,
C’était un taré, un vrai despote !
Il a ingurgité et vomi jusqu’à la lie
Sentant la vinasse à même son lit…
Et moi…sa fille unique…cette pauvre enfant,
J’aurais aimé être transformée en faon
Pouvoir brouter le muguet, juste un brin
Même s’il n’était pas très blanc mais plus que brun !
*****************
La vile vie d’Elvie Llumierelive
2ème volet
Depuis que ma mère avec un de ses gus est partie
Il a fallu que j’en prenne mon parti,
Vrai, très souvent j’ai serré les poings
Et j’ai mis au trait final un point,
Quand le paternel s’est mis sur pause
Par soulagement j’ai pris bonne pose :
Ne jamais plus grincer des dents,
Il est sous terre et bien dedans !
Toute la gnole qu’il se versait
A coulé dans ses veines comme des versets,
Quant à la daronne avec son amant
J’espère bien que son âme ment,
Je me doute bien que de moi elle n’a que faire,
Son cœur maternel est aussi dur que le fer,
Le daron dorénavant bouffé par les vers
N’aura plus à prendre le dernier verre.
**************
La vile vie d’Elvie Llumierelive
3ème et dernier volet
Maintenant je suis adulte je crois…
Et je continue mon chemin de croix
Avec porte jarretelles pour ajuster mes bas,
Il est vrai que je suis descendue bien bas,
Malgré ma peau ridée comme un coing
Je me prostitue dans chaque rue, dans chaque coin,
J’aime bien ingurgiter vodka, whisky et bière
Sachant qu’ils me mèneront en bière,
En fait j’ai hérité des vices de mes parents,
Pas la peine que je vous les énumère par rang
De plus dans les boutiques je commets des larcins
Mais je dors sur mes deux oreilles car j’ai le lard sain,
En ce monde plus rien de m’intéresse ni me tente,
J’ai refourgué mes mômes au mont de Piété, chez ma tante
Car avec moi on ne mets pas de mors,
Je me débat, je griffe, je cogne, je mords !
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