Me revoilà, ma très cher normandie,
Toi qui fut pour moi bien plus qu’une amie
M’apportant, rêve, joie et déséitude
M’offrant amour, comblant ma solitude.
Ta mer, ou j’aime passer de longues heures,
Dessus ou dessous, elle berce mon cœur,
Poussant la voile, me faisant avancé.
Me permettant de, l’ennuie, esquiver.
Desfois, je me promène sur la falaise,
Parcourant ou rêvant, tout a mon aise,
Ces petites criques qui me fascine tant,
Comme ces chemin sur la crête, fascinant.
Je reverrais aussi une frontière,
Une mer existante sous haute atmosphère
Qui est appelé lac de constance
Beauté irradiant plein de prestance
Je n’y suis allez qu’une unique fois,
Mais mes souvenirs me donne tant de joie,
Que, quoi qu’il arrive, j’y retournerais
Même si je dus payé tout un palais !
Comment oublié ces essences de bois ?
Ces effluves des pétales qui sont des rois ?
Et la pluie, juste fine et rafraîchissante,
Laissant place a une lumière réchauffante.
Mais le mieux reste ces allées décorées
Fourmillant de milles couleurs recherchés,
Vivant aussi bien grâce au papillon,
Que dans des fleurs dont je ne sais le nom.
Mais il m'en reste encore à explorer
Et peu de temps pour être rassasier.
Ne vous revérais-je jamais un jour ?
En tout cas, je vous aimerais toujours.
Toi qui fut pour moi bien plus qu’une amie
M’apportant, rêve, joie et déséitude
M’offrant amour, comblant ma solitude.
Ta mer, ou j’aime passer de longues heures,
Dessus ou dessous, elle berce mon cœur,
Poussant la voile, me faisant avancé.
Me permettant de, l’ennuie, esquiver.
Desfois, je me promène sur la falaise,
Parcourant ou rêvant, tout a mon aise,
Ces petites criques qui me fascine tant,
Comme ces chemin sur la crête, fascinant.
Je reverrais aussi une frontière,
Une mer existante sous haute atmosphère
Qui est appelé lac de constance
Beauté irradiant plein de prestance
Je n’y suis allez qu’une unique fois,
Mais mes souvenirs me donne tant de joie,
Que, quoi qu’il arrive, j’y retournerais
Même si je dus payé tout un palais !
Comment oublié ces essences de bois ?
Ces effluves des pétales qui sont des rois ?
Et la pluie, juste fine et rafraîchissante,
Laissant place a une lumière réchauffante.
Mais le mieux reste ces allées décorées
Fourmillant de milles couleurs recherchés,
Vivant aussi bien grâce au papillon,
Que dans des fleurs dont je ne sais le nom.
Mais il m'en reste encore à explorer
Et peu de temps pour être rassasier.
Ne vous revérais-je jamais un jour ?
En tout cas, je vous aimerais toujours.